Le statut de soumise est une emprise permanente, alors que celui de fautive est transitoire jusqu'à expiation, celui de pudique transitoire jusqu'à guérison. Dans tous les cas pourtant, la patiente sera rappelée sans cesse à son statut : comme on ne peut pas la suivre tout le temps, on utilise des contraintes...
Plusieurs déshabillages complets par jour.
Les téléphones avec appareil-photo permettent de prouver les déshabillages et l'heure à laquelle ils ont eu lieu. Plus la patiente est rétive, plus les déshabillages seront nombreux, plus les crénaux horaires seront précis.
La soumise doit être prête à montrer n'importe quelle partie de son corps à tout moment. On prendra soin de choisir des moments stressants
Des immobilisations pédagogiques.
Les immobilisations sont un temps de réflexion pour celle qui les subit. Les immobilisations sont réalisées si possible devant une glace : la soumise doit se voir, elle sera de préférence entièrement nue. Elle doit pouvoir supporter dix coups de cravache assez sévères, et toujours sur les fesses.
Appartenir
La soumise doit se rappeler sans cesse sa condition : elle est à la disposition de son propriétaire, qui teste régulièrement sa soumission
Un contrôle permanent
La patiente doit se tenir prête aux contrôles de conformité de ses vêtements et sous-vêtements, aux contrôles d'épilation, aux fouilles…
Des poses humiliantes
La soumise doit s'habituer à adpoter les postures qui lui sont ordonnées, aussi indécentes soient-elles.
Le marquage
C'est un élement important : un n° écrit sur la peau (ou un code-barre) renforce la soumission. Il peut être multiplié à titre de punition.