L'intérêt d'une pénitence est dans la durée autant que dans la douleur elle-même. Outre la préservation douloureuse de la chasteté illustrée ci-dessus, voici deux utilisations de pinces qui n'offrent que des avantages : serrage et durée facilement modulable, effet psychologique de la réduction à l'état d'objet
Le plateau, fixé à la ceinture et maintenu à l'horizontale par des chaînes à pinces reliées aux tétons de la pénitente : il a l'avantage d'exhiber la pénitente, ce qui accroit sa gêne, mais ne peut facilement s'adapter qu'aux poitrines moyennes ou petites, voire inexistantes. De plus, le nombre d'objets sur le plateau permet de graduer la punition. Très décoratif, notamment quand la pénitente a les mains liées dans le dos. Info technique (Alexandre) : il faut tout d'abord découper un morceau de contreplaqué un peu épais qui servira de plateau ... Ensuite, il faut fixer à 2 angles, dans l'épaisseur du plateau, 2 chaînes munies d'une pince qui viendra prendre place sur les seins de la stagiaire-soumise. Enfin, il faut prévoir une chaîne ou une ceinture qui passera autour de la taille afin de créer un 3ème point d'appui ... Je pense que le plus confortable est une ceinture fixée par le milieu au milieu du côté opposé aux pinces (toujours dans l'épaisseur du plateau) ... Ainsi, il n'y a qu'à serrer la ceinture dans le dos de la soumise, et elle pourra servir son maître fièrement ...
Le porte-jarretelles naturel, les bas sont tenus par des jarretelles fixées aux grandes lèvres de la pénitente par des pinces : il a l'avantage de pouvoir être discret (utilisable n'importe où). Idéal aussi pour l'auto-punition. Info technique (Alexandre) : il faut choisir des bas autofixants... On relie alors 2 pinces de type "japonaise" au sexe de la soumise, pinces qui seront elles-mêmes reliées aux bas par 2 autres pinces plus petites et plus plates...